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Si vous aimez les histoires où se mêlent amour, suspens et psychologie, mon roman est pour vous !
Quelques mots-clés: Figeac. Bibliothèque Sainte-Geneviève à PARIS. Amour. Erotisme. Suspens. Psychologie. Développement personnel. Fantastique.
Vous pouvez le commander sur le site de EDILIVRE ou dans votre librairie.
http://mo.michelonfray.fr/chroniques/la-chronique-mensuelle-de-michel-onfray-n-98-juillet-2013/
Michel ONFRAY, né le 1er janvier 1959, docteur en philosophie a enseigné dans les classes terminales d’un lycée technique de Caen de 1983 à 2002 avant de créer une Université Populaire à Caen en octobre 2002, une Université Populaire du goût à Argentan en 2006. Et plus récemment une Université Populaire du Théâtre en 2013, avec l’homme de théâtre Jean-Claude Idée. Natif d’Argentan, dans l’Orne, où il est domicilié.
Il a publié une soixantaine d’ouvrages dans lesquels il propose une théorie de l’hédonisme : que peut le corps ? En quoi est-il l’objet philosophique de prédilection ? Comment penser en artiste ? De quelle manière installer une éthique sur le terrain de l’esthétique ? ....
Bientôt ses conférences d'été seront retransmises sur France culture:
Evénément :Diffusion des cours de Michel Onfray UP de Caen | France Culture – du 29/07 au 28/08/13Début :29 juillet 2013 19 h 00 minFin :28 août 2013 19 h 00 min
http://www.lexpress.fr/culture/livre/les-tests-de-la-page-99_1009392.html
Une seule page décrite et analysée pour chaque livre retenu par l'Express. A nous de nous faire une idée.
Où comment raconter leur rencontre, au collège de France.
Extra... comme toujours !
Un traité international devrait être conclu jeudi àMarrakech afin de permettre à des centaines de millions d'aveugles et mal-voyants de disposer d'un meilleur accès aux livres publiés à travers le monde.
Si vous aimez écouter Jean-Louis Ezine, dans sa chronique matinale sur France Inter, vous allez vous régaler en le lisant. Si vous ne le connaissez pas... attention au coup de foudre et à la dépendance qui en suivra...
A consommer sans modération !
Extrait:
Le Tour adore ajouter la douleur et la supplique à l'amour qu'on lui porte et, à chaque époque de sa séculaire histoire, a toujours eu le génie, pour animer le chœur des martyrs, de se choisir un cantor tenaillé par le manque. Roland Barthes en a ainsi respiré l'odeur épique à la porte de Louison Bobet, qu'il tenta en vain de forcer, un soir à Avignon, dans les années 1950. Le champion français venait de triompher du mont Ventoux, où ne s'étaient guère illustrés jusque-là que le poète Pétrarque et le naturaliste Jean-Henri Fabre, lequel en avait fait vingt-cinq ascensions à seule fin d'identifier une poignée d'herbes rares et quelques cailloux parfaitement chauves.
Il sembla à Roland Barthes, alors au degré zéro de sa notoriété, que Bobet, dans ce cirque brûlant et désolé, s'égalait à un héros prométhéen, autant dire à un dieu. Et le commerce avec les dieux est le métier des écrivains. Hélas, ce dieu-là avait un frère et coéquipier qui veillait au grain et fit barrage à l'envahisseur devant la chambre, le tenant à distance et le condamnant à n'interpréter que des signes. Le sémiologue est né d'une attente déçue, et c'est au Tour de France qu'on le doit. «Sur le Ventoux, écrira, sans rien révéler de la scène, le brillant herméneute dans son recueil de «Mythologies», on a déjà quitté la planète Terre, on voisine là avec des astres inconnus.»
Et voici mon roman, après Trois années de travail, décrites comme suit:
Recherches historiques qui en amenaient toujours d'autres, au fil des trouvailles.
Matins et soirs, la tête dans la construction de l'intrigue.
Ecriture sur un petit cahier, qui se transmuta en Word, bien plus pratique pour faire les corrections.
Relecture par des amis. Merci merci merci à eux, sans qui rien n'aurait vu le jour.
Impression et reliure. Encore merci à celui qui se reconnaîtra.
Envoi du manuscrit à la SGDL afin de protéger mon oeuvre.
Envoi aux éditeurs classiques, puis aux éditeurs plus petits, à qui j'ai refusé, la mort dans l'âme... l'édition à compte d'auteur, tout du moins, appelée "édition avec participation aux frais". Voir : "se faire éditer".
Et puis ... et puis.... l'auto- édition m'a paru un bon moyen de faire lire mon livre au plus grand nombre. D'autant qu'en plus de l'édition papier, je propose un téléchargement GRATUIT du roman.
C'est VOUS, maintenant, que je remercie, pour avoir choisi de me lire. Un clic vous transportera sur le site d'ILV ( In Libro Veritas)
Bonne lecture !
http://www.ilv-edition.com/librairie/333-enigme-une-vie.html
Roman
15 janvier 2010. Paris. Quartier latin.
Camille, jeune bibliothécaire, est comblée par son premier poste à la bibliothèque Sainte-Geneviève. Sa vie est heureuse, jusqu’à ce qu’on lui fasse don d’un livre vieux de 333 ans dans lequel un avis de recherche, daté du 15 janvier 1677, mentionne son nom. Tout bascule alors dans l’irrationnel et nous propulse dans une intrigue psychologique, à la frontière du paranormal.
Chapitre I:
8h00. Jeudi 14 janvier 2010. Paris. Quartier latin.
Quatre cartes divinatoires du tarot de Marseille s’étalent, face contre ciel, sur ma table de cuisine. Décor ordinaire, ou presque, d’un petit-déjeuner.
Entre tartines et café, quelques minutes me suffisent pour croire en leurs prédictions. La singularité de ce tirage ne laisse aucune place à l’équivoque. La journée s’annonce particulièrement étrange, empreinte de bouleversements si énigmatiques et incontrôlables… Autant qu’un quotidien ordinaire ne pourrait jamais supporter. De toute évidence, je m’apprête à vivre l’histoire la plus folle de toute ma vie, et celle-ci s’en trouvera par le fait transformée. Je le sais dès ce moment, sans ne rien pouvoir tenter pour y échapper. Une moue dubitative déforme mon visage à peine éveillé. C’est la toute première fois que je tire un jeu aussi intriguant. Heureuse, sans histoires, je suis loin d’imaginer l’aventure dans laquelle je vais plonger : Cette énigme qui métamorphosera ma vie et la disséquera en deux parts inégales, ma vie d’avant et ma vie d’après.
L'auteur:
Emily d’Oste, avec la publication de ce premier roman, nous présente, au-delà de l’intrigue policière et psychologique, sa façon de voir la vie, à la lumière du développement personnel. Bibliothécaire de métier, le livre a toujours été pour elle une des finalités de la connaissance : la transmission.
17.90 €
http://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/conseils-pour-se-faire-editer/
Des conseils très utiles.
http://www.linternaute.com/sortir/livre/publier/compte-auteur.shtml
ATTENTION ! il faut savoir où l'on met les pieds. L'article de l'internaute explique très bien pourquoi:
Lorsqu'un auteur a essuyé plusieurs refus, il peut vouloir publier à compte d'auteur. Cependant, les éditions à compte d'auteur ne sont pas vraiment des maisons d'éditions, mais plutôt des sociétés de service. C'est l'auteur qui paie pour sa propre publication, et les tarifs sont élevés.
Les éditions qui publient à compte d'auteur proposent des services en plus de l'impression des ouvrages : correction des manuscrits, diffusion et distribution. Mais attention, on frôle souvent la publicité mensongère. De plus, il n'y a pas de contrat type : il faut lire très attentivement chaque contrat. Certains obligent l'auteur à acheter lui-même un quantité non-négligeable de ses propres ouvrages, d'autres impliquent de céder les droits d'auteurs. Chez d'autres encore, l'auteur ne touche un pourcentage des ventes qu'à partir d'un seuil de nombre de vendus. Attention, dans ce domaine, il y a beaucoup d'abus.
Pour des conseils et des renseignements, il est possible de contacter les associations qui défendent les droits des auteurs, comme la SGDL (Société des Gens de Lettres), ou l'Association des Auteurs Auto-édités.
La meilleure attitude quand on veut publier à compte d'auteur reste de ne pas se laisser prendre par les sentiments : lisez les contrats, comparez-les, faites des devis et comparez-les également. Réfléchissez à la quantité d'ouvrages dont vous avez besoin, et n'hésitez pas à faire des demandes spécifiques aux éditeurs. Vous êtes leur client.
Et surtout, n'oubliez pas de protéger officiellement vos droits d'auteur avant d'effectuer ces démarches.
Beaucoup d'auteurs sont adeptes de "faites-le vous-même". En effet, pourquoi ne pas faire appel directement à un imprimeur sans passer par un éditeur ? C'est ce qu'on appelle l'auto-édition. Et plus radical encore, si vous voulez seulement une vingtaine d'ouvrages pour votre famille et votre entourage, et que vous disposez d'un ordinateur et d'une imprimante, lancez-vous ! Il ne vous restera plus qu'à aller voir un relieur, que vous trouverez dans toutes les petites boutiques de photocopies.
On n'y pense jamais lorsqu'on publie à compte d'auteur ou lorsqu'on s'auto-édite. Si l'auteur vend ses ouvrages, ce ne sont pas des droits d'auteur qu'il touche, mais des revenus. Ce qui implique un autre statut fiscal, incluant taxes et autres surprises.
http://www.francopolis.net/
Le livre de la déraison souriante de
Robert Sabatier
Aphorismes Partie V... fin
Livre, porte ouverte, ouvre des portes en moi.
*
Je n'ai pas tout appris dans les livres, mais j'ai beaucoup compris par les livres.
*
Lire pour aérer sa demeure.
*Tout livre, même ancien, vient de naître pour qui le lit.
*
Si tu n'aimes pas la vie autant que les livres, c'est que tu n'aimes pas la vie.
*
On croit lire, on parcourt. On croit relire, on lit enfin.
*
Choisis ton livre. Peut-être t'a-t-il choisi.
*
On se cache dans son écriture pour mieux se découvrir.
*
Pourquoi j'écris ? pour vous faire parler.
*
Les livres sont trop chers- surtout les mauvais.
*
Dans un journal littéraire, on commence par citer Nietzsche et Platon et on finit par parler de ses rhumes.
*
Qui pratique une langue étrangère a la chance de regarder la sienne du dehors.
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Un critique est un homme qui lorsqu'il n'aime pas ça veut en dégoûter les autres.
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Poésie : les mots m'emploient.
*
Poésie : la chercher où elle n'est pas pour qu'elle s'y trouve.
*
Poésie : invention de ce que les yeux ne savent plus voir.
*
Poète : laveur de mots.
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Quand un poète meurt, toute la Poésie a froid.
*
Le poète est toujours en état d'ivresse sauf quand il a bu.
*
Être le poète des ivrognes et rester sobre.
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Vous voulez nous envoyer des billets d'humeur?
http://ecrits-vains.com/ballades/sommaire.html
Balade 31(Autour de l'Hôtel de Ville)Balade
Balade 30 (Autour de l'Hôtel de Ville)
Balade 29 (Autour de l'Hôtel de Ville)
Balade 28 (Autour de l'Hôtel de Ville)
Balade 27 (Autour de l'Hôtel de Ville)
Balade 26 (Autour de la Bastille)
Balade 25 (Autour de la Bastille)
Balade 24 (Autour de la Bastille)
Balade 23 (Autour de la Bastille)
Balade 22 (Autour de la Bastille)
Balade 21(Autour de la Bastille)
Balade 20 (Autour de la Bastille)
Balade 19 (Autour de la Bastille)
Balade 18 (Autour de la Bastille)
Balade 17 (Autour de la Bastille)
Balade 16 (Autour de la Bastille)
Balade 15 (Autour de la Bastille)
Balade 14 (Dans l'Île Saint-Louis)
Balade 13 (Dans l'Île Saint-Louis)
Balade 12 (Dans l'Île Saint-Louis)
Balade 11 (Dans l'Île Saint-Louis)
Balade 10 (Dans l'île de la Cité)
Balade 9 (Dans l'île de la Cité)
Balade 8 (Dans l'île de la Cité)
Balade 7 (Dans l'île de la Cité)
Balade 6 (Dans l'île de la Cité)
Balade 5 (Dans l'île de la Cité)
Balade 4 (Autour de Notre Dame de Paris)
Balade 3 (Autour de Notre Dame de Paris)
Balade 2 (Autour de Notre Dame de Paris)
Balade 1(Autour de Notre Dame de Paris)
Les balades parisiennes de l'Oncle Jérôme Numéro 1 Autour de Notre-Dame de Paris Première partie |
Quel régal de se promener en compagnie de l'Oncle Jérôme à-travers les rues de Paris ! Aujourd'hui, nous traversons le parvis de Notre- Dame, je relève le col de ma veste, nous pressons le pas tant est fort le vent qui circule librement à cet endroit. A l'ombre de la cathédrale, je me sens si petit, si tristement humain qu'il m'est difficile de la regarder dans son ensemble, tant la peur est grande d'avoir le tournis et de chuter! Quelle foi fallait-il aux maçons pour monter ces blocs si haut dans le ciel ! Mon oncle Jérôme à mes côtés, je me sens armé pour déchiffrer le secret des pierres de la capitale. Avec lui, toutes les rues ou presque ont un ou plusieurs numéros liés à l'histoire et il raconte avec une telle ferveur que Paris à mes yeux n'est plus le même. Historien de Paris et professeur d'histoire, passionné par tout ce qui touche sa ville natale, l'Oncle, n'a jamais quitté la capitale, excepté une année passée en province où il fallut le rapatrier aux premières vacances, tant sa mélancolie de Paris lui fut insoutenable ! Je lui dois le virus de l'histoire qu'il a su m'inoculer ! En effet, dès mon plus jeune âge, d'abord en bandes dessinées, puis en livres plus savants, grâce à lui, l'Histoire de France m'a passionnée. Et au fil des années, cela n'a fait que s'amplifier. Après mon bac, je pense suivre le même chemin que lui. Après avoir traversé la Seine par le pont au Double, nous passons devant le porche de l'église et tout naturellement nous nous sentons happés sur la droite vers ces courtes rues qui formèrent au XIVè siècle le Cloître Notre-Dame, véritable petite cité de maisons, de rues, de jardins où nul bruit, nulle taverne ou commerce, pas d'avantage d'ouvrier ou de femme, ne venaient troubler la sérénité des chanoines. Cet ensemble était clos de murs d'enceinte fermés par quatre portes. De ce cloître sortit, à l'époque, les hauts dignitaires de l'Eglise, on cite 29 cardinaux et 7 papes ! En avançant dans la rue du Cloître Notre-Dame, Oncle Jérôme devient intarissable, il faut dire qu'il avait relu une grande partie de sa bibliothèque avant d'accepter de m'accompagner ici ! Juste en face du n° 18, était accotée à la tour nord de la cathédrale, une chapelle du nom de St Jean du Rond et qui servait de baptistère à l'époque où les baptêmes se faisaient par immersion. Elle fut démolie en 1748 et ses pierres réutilisées à d'autres ouvrages. Le matin du 16 novembre 1717, la femme du vitrier Rousseau, trouva sur le seuil de cette chapelle un enfant abandonné, un garçon, qu'elle recueillit aussitôt. Elle le prit chez elle et l'éleva comme son propre fils. Elle le fit baptiser sous le nom de Jean du Rond et le mit en pension dès l'âge de quatre ans. A douze ans, il entra au collège des Quatre-Nations où il prit goût aux mathématiques (ses maîtres voulurent l'attirer vers le droit et la théologie, mais il sut ne pas les écouter), bien qu'à vingt ans, il fut reçu avocat. Il s'essaya aussi à la médecine mais au bout d'un an cela le fatigua et il retourna à la géométrie. Remarquable dans cette discipline, à 23 ans, il entra à l'Académie des Sciences après divers travaux qui l'avaient fait apprécier, puis fut admis à l'Académie Française. Il partagea sa vie entre ses travaux scientifiques et ses études philosophiques, écrivit la préface de l'Encyclopédie, fut ami de Diderot, de Voltaire et resta célèbre sous le nom de d'Alembert, sans qu'on sache, d'ailleurs, pourquoi il prit ce nom. C'était un enfant naturel d'un chevalier, Destouches, et d'une ancienne chanoinesse du nom de Madame de Tencin. Elle avait été relevée de ces vœux et une fois libre, mena une vie de débauche pendant laquelle elle eut de nombreux amants comme le Régent, ou le cardinal Dubois, puis renonça à ce genre de vie et ouvrit un salon littéraire, un des plus réputés du XVIIIè siècle par les conseils prodigués et les bons mots qui émaillaient les conversations les plus fines qui soient. Tous les chemins du vice mèneraient-ils à la vertu ? Resté modeste, d'Alembert, sut renoncer aux largesses du Grand Frédéric de Prusse qui l'appela à Berlin, ainsi qu'à celles de Catherine II de Russie qui voulait lui confier l'éducation de son fils. Parlons un peu de ses œuvres : Dans son « Traité des dynamiques », œuvre magistrale, publiée en 1749, à 26 ans, il fonde la mécanique des corps sur trois principes évidents aujourd'hui qui sont l'inertie, le mouvement et l'équilibre. De là, il explique, il démontre les forces de l'inertie, de l'accélération, précise le centre de gravité, analyse les chocs et va jusqu'à indiquer la solution générale des cordes vibrantes. L'année suivante, il démontre par une théorie fondamentale que toute équation algébrique a, au moins, une racine. Grâce à l'Encyclopédie, son influence sur son époque fut grande. L'idée maîtresse est fondée sur la connaissance par le geste et par la parole, autrement dit, par l'apprentissage, valeur on ne peut plus d'actualité aujourd'hui! En effet, il écrit dans la préface, sous le nom de « Discours préliminaires» que c'est la main qui fait l'artiste et ce n'est point dans les livres qu'on peut apprendre à manœuvrer et partant, il crée un savoir technologique qui sera imité dans le monde entier. C'est une des œuvres les plus belles de la philosophie du 18è siècle. Il mourut en 1783, à l'âge de 66 ans. Après toutes ces explications, un peu savantes, l'Oncle me proposa d'aller boire un bon chocolat chaud au café du coin, que je m'empressais d'accepter. D'Alembert et sa naissance style Sdf m'avaient donné froid dans le dos…Mais quel exemple de réussite, comme quoi tout n'est jamais perdu d'avance ! Mais quand même, avoir comme parents une mère religieuse et un père chevalier, avouez que ce n'est pas si banal que ça! Au n° 14, une autre halte me fut imposée par mon oncle: « Si, si, viens voir, tu vois la maison devant laquelle nous sommes, eh bien elle fut habitée par le chanoine Picot, ça ne te dis rien, je suppose, mais Picot fut le confesseur de la marquise de Brinvilliers, empoisonneuse célèbre du temps de Louis XIV….Ah : tu vois ça change tout, n'est-ce pas ? ». En effet, la marquise fut une des plus célèbres empoisonneuses de son siècle, triste renommée, en vérité. Arrêtée en 1675, impliquée dans l'Affaire des poisons », elle fut exécutée l'année suivante, elle avait 46 ans. Elle fut accusée d'avoir empoisonné ses deux frères ainsi que son père afin d'accéder à leur succession, elle et son amant. Elle fut l'auteur d'une préparation qui deviendra bientôt célèbre sous le nom de « poudre à succession »…Il faut ajouter qu'elle était marquise née Marie-Madeleine d'Aubray, fille d'un conseiller d'État. Au moment de son procès, elle dut faire amende honorable sur le parvis de Notre-Dame devant le clergé. Nous retrouverons ce personnage dans une autre balade rue Charles V dans sa demeure parisienne. A la prochaine balade, d'autres personnages, pas moins attachants nous attendent, toujours dans le même quartier, nous parlerons de Joachim Du Bellay et du Dr Bichat... Michel Ostertag |
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